
La Cour constitutionnelle a rejeté l’arrêt qui a déclaré inconstitutionnel le décret-loi relatif aux livreurs de plateformes numériques, dit loi cavalier, qui interdit aux plateformes numériques de recourir à des travailleurs indépendants comme livreurs.
Des sources du tribunal des garanties ont expliqué à EFE que Le magistrat conservateur Ricardo Enríquez a retiré sa présentation, qui soutenait le recours d’inconstitutionnalité de Vox, car il ne disposait pas d’un soutien suffisant pour le faire avancer.
Enríquez a pris cette décision lorsqu’il s’est rendu compte que la majorité progressiste n’allait pas soutenir sa présentation, qui n’a cependant pas été soumise au vote.
Vox a déposé un recours
Ainsi, la Plénière a convenu que lors des prochains conclaves, on examinerait un autre recours du PP contre la même norme, dont le rapporteur est le juge Ramón Sáez, qui rejettera ce recours et confirmera la constitutionnalité de la loi, ajoutent les sources. Plus tard, Enríquez présentera à nouveau sa présentation, cette fois en suivant les critères précédemment établis par l’appel du PP.
Vox a déposé un recours en protection, assurant, par l’intermédiaire du député Juanjo Aizcorbe, que cette législation finira par provoquer la sous-traitance des « coureurs » et leur maintien dans la précarité.
En outre, le parti de Santiago Abascal a critiqué les « formes » de l’Exécutif, qui avait initialement l’intention d’approuver la norme par décret-loi, et a exigé qu’il siège aux côtés des plateformes qui utilisaient des travailleurs indépendants comme livreurs, comme Deliveroo, Glovo, Stuart. ou Ubereats et avec ses propres « riders » pour connaître leurs arguments.
Aizcorbe a rappelé que Dans d’autres pays européens, un débat s’ouvre déjà sur la figure des « indépendants numériques », tandis qu’en Espagne, selon lui, on a choisi une voie qui « peut signifier davantage de misère et de chômage ». pour le groupe de livreurs.