La voiture mal garée, clé
Le couple n’est pas originaire de cette commune de l’Alpujarra de Granada d’un peu plus de 3 000 habitants, mais ils ont récemment loué il y a un appartementplus précisément sur l’Avenida de la Alpujarraoù ils ont été arrêtés ce matin, a déclaré à EFE le maire, Eric Escobedo.
La indice Ce qui a conduit la Police Nationale vers eux, c’est la présence d’un véhiculedans une rue parallèle à cette avenue, qui il n’aurait pas dû être garé là car cette esplanade se prépare ces jours-ci pour accueillir la Foire agroalimentaire et du miel de Lanjarón.
Les efforts de la Mairie pour retrouver les propriétaires ont conduit à une agence de location de voitures à Malaga où la voiture avait été louée.
L’agence en a ouvert une partie, a expliqué le maire, ce qui a provoqué le déclenchement des alarmes et la police nationale a organisé dès l’aube une grande opération qui a abouti à la localisation et à l’arrestation du couple dans l’appartement loué sur l’Avenida de la Alpujarra. .
Les trois arrêtés
Des sources policières ont indiqué à EFE que le deux arrêtés dans Lanjaron ils sont un mariage – lui de nationalité espagnole et elle de nationalité britannique -, tandis que la personne arrêtée à Fuengirola est un Espagnol. Selon les premières investigations, personne n’est l’auteur matériel de l’attaque.
En fait, les enquêteurs associent uniquement les deux hommes détenus à la fusillade, même si pour l’instant les circonstances de leur implication dans les événements n’ont pas été révélées. Cependant, des sources proches de l’enquête suggèrent que la personne arrêtée à Malaga pourrait être liée à la moto utilisée lors de l’attaque.
Ces trois arrestations ont été effectuées par des agents du Commissariat Général à l’Information de la Police Nationale, après avoir traqué les deux suspects pendant des jours.
Que sait-on de l’assassinat d’Alejo Vidal-Quadras ?
Vidal-Quadras, 78 ans, a reçu un tir dans la visage vers 13h30 tout près de son domicile, dans le Rue Núñez de Balboa à Madrid.
Le juge du Tribunal National Francisco de Jorge a assumé l’enquête pour le tournage en le considérant comme un crime de terrorisme étant donné la possibilité que la responsabilité incombe à une organisation liée au régime iranien.
Vidal-Quadras lui-même a informé la police que derrière la fusillade il pourrait y avoir le régime de Téhéran en raison de ses relations avec l’opposition de ce pays.