Redacción digital Informativos Telecinco

Il Le chef général de l'UME, Javier Marcos, est apparu à Moncloa pour expliquer l'opération qu'il dirige dans la Communauté valencienne. « Dès le premier instant, toutes les capacités des forces armées ont été mises au service de la Communauté valencienne », a-t-il assuré. Marcos a expliqué que le nombre de soldats a augmenté au fil des jours. Il y a actuellement 6 600 soldats. « Cet après-midi, à 20 heures, il y aura 7 800 militaires » qui seront dans la Communauté valencienne.

ETle chef de l'UEM Il a décrit les dégâts à Valence comme terribles, c'est une telle complexité qu'il faut être discipliné et patient, mais la mobilité des équipes génère de la complexité. Les forces armées travaillent en double et ont besoin de logistique.

Le chef général de l'UME, Javier Marcos, a expliqué le protocole suivi le jour du début de la DANA : « Le jour où l'urgence s'est déclenchée, l'UME suivait déjà la situation météorologique. J'ai deux outils juridiques : alerte précoce et déploiement anticipé. Quand j'ai vu ce qui pouvait arriver, j'ai utilisé ces outils juridiques pour que le bataillon numéro 3 de la base Jaime I de Bétera, Valence, ait immédiatement ordonné à tous les soldats de se rendre à leurs postes, soit environ 500 soldats. De plus, j'ai ordonné un déploiement anticipé, afin que lorsque cette autorisation légale serait arrivée, nous soyons en mesure d'entrer immédiatement dans la zone d'urgence. Depuis le moment où j’ai donné l’ordre de partir jusqu’à leur départ, cela a pris 15 minutes. » «Dès que la Generalitat nous a donné le feu vert en quelques minutes, nous étions dans la zone d'urgence. De plus, nous étions l'un des rares à pouvoir entrer dans la zone d'Utiel et de Requena », a-t-il ajouté.

« J'ai alerté 1 000 soldats correspondant à cinq bataillons pour que les habitants de Valence puissent voir que nous étions là. Nous n'avons pas pu intervenir immédiatement pour des raisons de temps, d'ordre et de discipline. C'est la Communauté autonome qui dirige. »

Les priorités sont mises à jour en fonction de ce que nous dit la Communauté autonome et liées aux maires afin qu'ils nous disent ce dont ils ont besoin, où et quand, et que nous fassions ce qu'ils nous disent. « Pas seulement dans les villes, car pour y accéder, il faut réparer les routes ».

Il est difficile d'estimer le nombre de personnes disparues. « On frappe à toutes les portes et tout le monde veut être servi. Il y a des difficultés dans les garages et autres zones couvertes de boue.