Redacción digital Informativos Telecinco

La clause supprimée défendait le le droit des femmes à l'avortement et avait été particulièrement encouragé par le gouvernement de Macron et Justin Trudeau ; L'objectif était de renforcer un accord trouvé par les membres du G7 l'année dernière, au cours de laquelle ils se sont engagés à garantir « un accès efficace et sûr » au Interruption de grossesse volontairement. Dans les projets du communiqué final figurait la clause à laquelle le gouvernement italien était opposé et qui a provoqué un désaccord entre Macron et Giorgia Meloni.

Cependant, dans le document qui sera approuvé ce vendredi, tel que publié par EL PAÍS, il parle de droits et exprime seulement la volonté de «promouvoir la santé et les droits reproductifs pour tous et faire progresser la santé maternelle, des nouveau-nés, des enfants et des adolescents. Ainsi, la déclaration commune que signeront les États-Unis, le Japon, le Canada, l’Allemagne, la France, l’Italie et le Royaume-Uni ne mentionne pas directement l’interruption de grossesse.

Macron affiche son désaccord avec Meloni au G7

Apparemment, les sept ont trouvé ça formule consensuelle pour éviter les frictions entre les parties, après que Meloni ait marqué cette question comme une ligne rouge. Cependant, la France a montré son désaccord. Le président Emmanuel Macron avait déjà manifesté ce jeudi son désaccord en faisant référence à une question cruciale et, interrogé par les journalistes du sommet, il a assuré qu'il respectait la décision : « Ce sont des sensibilités différentes, mais je respecte le choix souverain du peuple italien. » « La France a intégré dans la Constitution ce droit des femmes à l'avortement, la liberté de disposer de leur corps. Ce ne sont pas les mêmes sensibilités de ce pays. La France, quant à elle, partage la vision de l’égalité entre les hommes et les femmes », a souligné Macron.